Trente sœurs travaillent dans le diocèse très pauvre de Cajazeiras au Brésil. Le travail des sœurs est une grande bénédiction, car il y a trop peu de prêtres. Au milieu des nombreux défis et épreuves auxquels sont confrontés les habitants de Cajazeiras, la mission des sœurs brille comme une lueur d’espoir. Et cela est possible grâce à vous !

12 Filles de Marie du Vicariat apostolique du Chaco s’engagent auprès des jeunes, accompagnent les familles, rendent visite aux malades et aux personnes âgées, leur apportent la communion, font la catéchèse et fournissent des conseils et une assistance aux pauvres et aux défavorisés.

Pour les Petites Sœurs de Saint-François en Ouganda, il était difficile de parvenir à leurs lieux d’intervention. Mais grâce à votre aide, elles ont pu acheter un minibus. En conséquence, le travail d’aide et d’évangélisation est devenu beaucoup plus intense et il est désormais possible d’atteindre des endroits plus éloignés.

Les Carmes Déchaux ont de nombreuses vocations au Cameroun et dans la République centrafricaine voisine. 42 jeunes hommes sont actuellement en formation – 33 d’entre eux sont originaires de la République centrafricaine et neuf du Cameroun.
Le nombre élevé de vocations est un grand défi financier pour l’Ordre. La République centrafricaine est l’un des pays les plus pauvres au monde, et au Cameroun l’Église est également confrontée à de nombreux défis.

Les Sœurs de la Sainte-Famille de Bordeaux à Gojra aident les prêtres dans les paroisses, soutiennent les nécessiteux, les enfants des rues et les orphelins, et interviennent dans le domaine de l’éducation et des soins de santé. Leur travail est ardu, car les sœurs n’ont pas de voiture. Or, au Pakistan, il est risqué pour des femmes de se déplacer en transport en commun. Nous aimerions aider les religieuses à acheter une voiture afin qu’elles puissent se rendre en toute sécurité auprès des personnes qui les attendent. Voulez-vous bien les aider ?

Les Missionnaires de Jésus Verbe et Victime au Cuba travaillent dans une région extrêmement pauvre. Les habitants ressentent le besoin de faire l’expérience de l’amour miséricordieux de Dieu et d’apprendre à connaître le Dieu qui a toujours été auprès d’eux et qui le reste. Les sœurs n’ont pas de revenus, elles dépendent de notre aide. Vous pouvez être un canal d’amour pour rendre possible l’apostolat de ces sœurs.